L'alimentation et le climat

En 2010, il est estimé que 40% des personnes des anglais et des américains seront obèse. La consommation de la viande rouge pose au monde des problèmes écologiques et de la santé que les trois documents proposés tente de cerner par une analyse sociologique et scientifique. D’après Elio Riboli de l’Imperial College de Londres, plusières études américaines et éuropeenes abordent que le risque des maladies coronariennes, de cancer, du diabète et de l’obésité est plus élevé chez les consommateurs trop frequents de viande rouge et de charcuterie. Selon une autre étude, la production d’un kilo de bœuf demande l’émission de 14,83kg-équivalent CO₂ de gaz de effet de serre tandis que celle des pomme de terre n’émet que 0.23kg et celle de poulet émet 1,1kg.

Les chiffres demontrait que les aliments qui nuisent notre santé, nuisent la planète aussi. Pour resoudre ce problème, les scientifiques et les associations «écolos» exigent qu’on consomme plus des produits locaux et qui sont certifiées sains. Le World Cancer Research Fund a exhorter de limiter le consummation de viande rouge à 500g par semaine. Consommation moins de viande aide aussi à reduir des instances des maladies liées au mode de vie et facilte à combattre le changement climatique. Il n’est pas tout-à-fait demander d’être végétarien car c’est difficile et la viande maige a ses avantages mais il est recommender de manger plus des fruits et légumes bio qui beneficient les consommateurs, les travailleurs agricoles et l’environnement.

Les cours particuliers

Un rapport réalisé pas sociologue Dominique Glasman pour le Haut Caonseil de l’evaluation constate que depuis une décennie les entreprises de soutien scolaire sont en plein essor grâce à des mesure fiscales beneficiant aux parents français. Les cours particuliers sont populaires, malgrès les coûts, même dans les classes moyennes.

Plus en plus de familles françaises regardent l’école comme un grand concours et veulent la réussite pour leurs enfants à tout prix. Les classes surchargées et les collèges-ghettos des zones d’education prioritaires ne donnent pas l’espoir. La hantise de l’échec pousse les parents vers les entreprises qui promettent la «garantie de résultats» et «individualisation». Ses cours se penche sur les techniques d’apprentissage des disciplines qui sont enseigné a l’ecole.

La pharmacoresistance

Selon l’Organization mondiale de la santé, les antibiotiques tentent d’étre inutiles dans le prèmier quart de 21eme siècle. L’humanité risque de se trouver devant une impasse thérapeutique contre des maladies guérissables d’origine bactérienne. Nous debuterons par montrer les causes, nous passerons sur les conséquences et finalement nous pencherons sur les solutions.

D’abord, ce phénomène s’appele pharmacoresistance. Dans les pays pauvres, faute d’argent on remarque la sous-utilisation des medicaments antimicrobiens pour les traitements qui force les malades pour acheter les medicaments contrefaits dans le marché noir. Dans les pays riches, sous pression des malades mal-informés, dans trois quarts des cas, des antibiotiques sont surprescit depuis les années 80. L’industrie agroalimentaire occidentale abuse des antibiotiques afin d’ameliorer les recoltes chez le bétail. Ces factuers sont coupable pour la hausse de pharmacoresistance.

Les consequences à cause d’usage immodères sont enormes. On temoigne la resurgence des maladies infectieuses comme les blennoragies, les infections ORL et repiratoires. Les services de reanimation sont les plus touchées car les bactéries sont actuellement resistantes à multiple familles d’antibiotiques. La situation n’est pas tout- à-fait grave car la plupart des antibiotiques sont toujours efficacesmais on ne sait pas pour combien de temps. De plus, les nouveaux medicaments ne sont pas sur l’horizon.

Pour resoudre ce problème, il faudrait réduit la consommation des antibiotiques en mieux éduquant les médecins et le public sur l’usage des antibiotiques immodères. Il faut eviter des antibiotiques dans les cas où la maladie est due à virus. Il vaut mieux de développer et depender sur le système immunataire de soi-même.

La France – Le Terre d’accueil

La France est assiégée par les problèmes lies à l’immigration qui sont décrit dans les trois dossiers qui visent à approfondir l’impact socio politique. Les documents scrutent les distincts types des immigres, les obstacles pour leur assimilation dans la société française et les solutions présentées.

En France, un étranger est un ressortissant d’un autre pays tandis qu’un immigre est un résident, né dehors la France et qui n’a pas la nationalité française. À-partir-des années 70, la proportion d’étrangers a touché une stabilité semblable aux années 30 ; le niveau était à son nadir en 1954. Faute de chiffres précis des partances des étrangers, il est ardu de déterminer des flux. L’Hexagone a bien accueille les immigres dès le XIIIe siècle et c’est pragmatique de contenir la politique visant a l’immigration zéro selon le politologue P. Weil. Présentement, les français doivent être conscients qu’il fallait une génération pour l’intégration complète en respectant les mœurs culturelles étrangères et nationales.

En considérant le niveau d’éducation et l’emploi, les immigres sont trop désavantagés. Il existe même l’immigration illégale et l’émigration des étudiants étrangères qualifiées. Pour résoudre ces problèmes, P. Weil conseille d’ouvrir le dialogue avec les domaines qui emploient les travailleurs sans papiers afin de comprendre leur comportement et des bénéfices fiscaux pour les entreprises pour attirer et retenir les travailleurs diplômés.

La France essaie de combattre l’immigration clandestine en contrôlant ses propres tendances racistes. L’Hexagone bénéficie d’enrichissement culturel et économique apporte par les immigres.

Faudrait-on réglementer la publicité pour protéger les consommateurs et pour respecter les normes éthiques?

La publicité de 21^ème siècle assaille chaque écoinçon public concevable en France et ailleurs. L’union européenne souhaite codifier les normes pour les annonces audio-visuelles pour sauvegarder l’intimité des consommateurs. On abordera d’abord les provocations pour réglementer les pubs et puis on discutera s’il vaut mieux de laisser faire selon les dynamiques du marché libre.

Les campagnes publicitaires propagent des pensées reprochables et anti-sociales qui incitent les inquiétudes concernant les contrecoups sur les jeunes. Dans certains cas, les pubs peuvent aussi influencer le contenu des programmes télévises. La question qui suit est celle de «neuromarketing». Les commerçants, en essaient d’influencer la décision d’achat, emploient les écrans publicitaires électroniques. Ce phénomène fait polémique et avec l’avance des technologies de communication contemporaine, le consommateur n’échappera presque jamais la publicité. Cela provoque la demande de réglementation.

Passons aux forces du monde capitaliste et les opinions politico sociales. Les mitraillages publicitaires trop ciblés aident à marchander les produits selon les besoins précis des consommateurs en économisant les coûts de marketing. Pourtant le bombardement publicitaire partout et son nature endoctrinant et intrusif crée des «publiphobes» et incite les codes pour les interruptions commerciales sur la télévision dans les pays européens qui cherchent à éviter la télévision «à l’américaine».

En résumé, les technologies aident à vendre mieux mais il faut plus de responsabilité pendant son usage. Il occasionne de se rendre compte que les biens et les services aident à vivre mieux et que on ne vit pas pour que les biens et les services puissent se vendre mieux.

Pourrait-on aligner les intérêts géopolitiques internationaux afin de combattre le réchauffement climatique?

En vue du réchauffement climatique, les membres d’ONU réuniront en décembre 2009 à Copenhague, pour signer un accord scientifique pour protéger la Terre. Pourtant les rapports pour la croissance économique dans les pays pauvres et ceux des pays développes ne croissent pas. On se demande si c’est possible d’aligner les intérêts internationaux afin de combattre le réchauffement climatique.

Nous débuterons l'argumentation en considérant les facilites pour le réduction d’émissions des gaz polluants. Les pays riches doivent accroître leurs investissements dans la recherche et l’adoption des technologies non polluants. Les pays européennes sont déjà en train le faire. Même les pays en développement comme la Chine augment fortement leur capacité d’éolien et le Brésil est le leader mondial pour la consommation des biocarburants.

Nous passerons aux obstacles pour choisir les énergies non fossiles. Le ralentissement économique récent prohibe des grands investissements pour élire des nouveaux moyens d’énergie qui coûtent très cher. Les pays pauvres du sud surtout les pays africains ne peuvent pas s’offrir les technologies comme le solaire, les éoliens et les biocarburants à cause des prix. Malgré l’enthousiasme et la puissance économique, les pays développes du nord montrent une certaine répugnance pour soutenir la recherche et pour aider les pays économiquement faible.

Les gaz à effet de serre dévore nos glaciers et modifie notre climat à un taux incroyable. Il nous faut la coopération entre tous les pays pour rapiécer ces développements sans laquelle on n’arrivera pas à garder notre richesse naturelle pour nos prochaines générations.

Faudrait-on mieux éduquer les parents pour combattre l'hyperactivité chez les enfants?

L'activité chez les enfants métamorphose dans l'hyperactivité et les parents et les enseignenants se trouvent perdue pour trouver la solution pour le problème. Les jeunes deviennent de plus en plus distraits et les adultes ne comprennent pas les raisons. On a beau essayé d'éduquer les enfants pour qu'ils puissent se comporter mieux mais maintenant on se demande s’il faut éduquer les parents pour guérir les enfants hyperactivités

Le travail à domicile. Qui gagne? L'employée ou l'employeur?

La crise financière force les entreprises partout à réexaminer leur situation financière. Tout le monde veut maintenir une certaine croissance, ou bien de ne pas se trouver au déficit. Dans ce cas-là, les dirigeants encourageant leur employées de travailler chez eux, quelque chose qui était même difficile de concevoir, il y a quelques années. Aujourd’hui, on se demande qui est le vrai bénéficier de ces changements dans le lieu de travail.

En considèrent les causes de ces évolutions, on trouve que les entreprises veulent économiser sur les coûts immobiliers sous le poids de la récession. Les entreprises essaient d’éviter à tout prix d’augmenter leurs coûts fixes et en même temps ils ont envie de licenciait moins. Grâce à l’accès Internet haut débit et aux gadgets électroniques modernes, les employées peuvent travailler chez eux sans difficultés.

Ce nouveau environnement du travail délocalisé a ses défaitistes cependant il existe plusieurs bénéfices pour l’entreprise et les employées. Les employées gagnent plus de temps pour leur famille et pour leurs loisirs. Leurs budgets et leur mode de vie deviennent plus écolo sans les coûts variables comme l’essence, le pressing et les déjeuners au restaurant. Le travail à l’autogestion améliore la productivité des gens. Les bilans des entreprises paraissent plus sains sans les coûts immobiliers.

En concluant, c’est clair que les entreprises et les employées gagnent. La flexibilité réduire le dépenses et augment l’efficience. La technologie s’assure la coopération en ligne. Cependant, le bureau real, restera le lieu de travail avec le vrai contact humain.

La violence a ecole. Pourrait-on l'empecher?

Le lieu d’apprentissage devient le lieu d’affrontement. Les enseignants et les étudiants se trouvent accusés et attaqués à la même fois. Les confrontations dans les quartiers, surtout entre les français d’origines étrangères, arrivent aux lycées dans les formes extrêmement violentes et on se demander si on arrivera à détourner ses causes afin de combattre la violence dans les écoles.

Nous débuterons l'argumentation en examinant les causes de phénomène. Souvent les élèves des quartiers sensibles se plaignent d’être faussement accuser de mauvaise conduite. Même les moindre des erreurs dans leurs devoirs peuvent entraîner des cahiers déchirés par les professeurs. Les éducateurs, habituellement les nouveaux diplômés, malformés et sous-compensés, faillent à chapeauter la bestialité scolaire. Ils enveniment le problème, sciemment ou par mégarde. Le mécontentement des étudiants se manifeste en brutalité. Toutefois, les élèves défavorisés dans les pays en développement ne choisissent pas la grossièreté.

Nous passerons aux conséquences de ces attaques déchaînées. Les collégiens et les lycéennes harcelés souffrent des maladies psychologiques ou ils deviennent des matamores eux-mêmes. Conformément à la Carte scolaire, les brutes sont regroupées dans les clases pour «les enfants en difficulté», une situation opportune à la délinquance. Les étudiants parfois n’ont aucun respect pour leurs professeurs et les derniers ainsi assaillent manque le moindre enthousiasme pour amender la condition.

En concluant, on perçoit que l’abolissement de la ségrégation des élèves et l’amélioration dans la formation et compensation des enseignants peuvent reformer la situation. Mais est-ce que c’est ne pas l’obligation des parents de discipliner leurs enfants ?

Pourrait-on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter le problème de sous alimentation?

Selon les chiffres de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, il existe aujourd’hui 100 millions d’affamés dans le monde entier. L’effort international vise à vaincre la faim dès 2015. En considérant le succès des programmes agroalimentaires dans les pays développés de l’hémisphère boréal, c’est possible et on est obliger de trouver une solution durable au problème de sous-alimentation.

Tout d’abord, les pays développés doivent coopérés avec les pays en développement en versant les fonds monétaires par l’aide de la Banque mondiale ou par l’aide des fonds de la FAO. Il faut la pression internationale sur les pays où il y a des zones de conflits car les efforts économiques ne marcheront pas sans la paix. Les pays qui vont recevoir l’assistance économique doivent être obliges à ranger leur situation sociopolitique.

Ensuite, il faut que les états asiatiques et africains touchées par la crise alimentaire, consolident les relations interindustrielles verticales. L’expérience montre qu’une augmentation dans les volumes des récoltes n’est pas suffisant sans l’infrastructure d’approvisionnement excellente. Les systèmes agricoles ne profitent personne sans les bons liaisons en amont et en aval. Il faudrait des investissements pour développer les transports routiers, les ressources d’énergie renouvelable, les bassins versants et les engrais et les OGM, malgré la crise financière pour qu’on puisse éviter ou bien diminuer la risque d’une crise alimentaire pareil dans l’avenir et pour

adhérer au droit à la nourriture qui est reconnu depuis l'adoption de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948.

Est-ce que le monde de la mode est impartial quant a la representation des mannequins de couleur?

Est-ce que la fracture linguistique pourrait-elle être considérer comme la fracture sociale?

Les banlieues françaises donnent naissance au verlan, une forme de français tronqué par les jeunes des cités, surtout des origines nord-africaines, en mettent à l’envers les syllabes des mots ou par le redoublement de la dernière syllabe. Le verlan n’est presque pas compris par des adultes, surtout par des natifs. Les jeunes des banlieues se sentent marginalisés et c’est une façon de résister les Français d’origine français. Cela montre un vrai refus de communiquer avec les dominants qui montre aussi une fracture sociale.

Pourtant, selon moi, il faut s’apercevoir que la langue change de temps à temps. Les influences régionales et celles des langues des immigrés sont toujours visibles dans la langue de la majorité. Non-seulement le verlan est un jeu de syllabes mais aussi on voit l’utilisation des mots provençaux, arabes et même des mots très vieux. Cela montre l’introduction des nouveaux mots dans une langue et même la réintroduction des mots désuets. C’est donc une vrai évolution, pas forcement une fracture sociale. D’après moi, les jeunes sont très créatifs et audacieux pour manifester leur mécontentement avec la société française par le moyen de la langue

Cependant, je ne crois qu’un refus absolu des jeunes de parler le français sera un défi pour leur progrès professionnel et pour se rendre dans la société française d’un point de vue sociale, éducatif et économique.

Pour conclure, je voulais dire que le verlan montre une bonne tendance pour la langue française car ce qui n’évolue pas avec le temps, meurt.

Pourrait-on empêcher le SIDA en mieux informant les jeunes?

Étant donne que les jeunes sont particulièrement susceptibles au VIH/SIDA et aux autres infections sexuellement transmises (IST) à cause d’une multitude des attributs physiques, psychologiques et sociaux de l’adolescence, on se demande si on pourrait empêcher l’épidémie chez les jeunes en leur mieux informant. C’est possible si on s’attaque au problème avec des vastes stratégies centrées sur la jeunesse.

Les jeunes subissent aisément l’influence des pressions exercées par leurs pairs, fréquemment de manières qui peuvent faire accroître leurs risques. Pour mieux gérer la crise, toute la société doit encourager les programmes d’éducation et de communication qui renforcent les méthodes d’aversion pour les risques, telles que le report des activités sexuelles, la dependence, l’abstinence et les conversations avec les partenaires sexuels. Les préservatifs devraient être à bas prix et on devrait pousser leur emploi par tous les individus qui sont sexuellement actives car ils défendent à la fois contre le VIH et contre la grossesse. Il faut que les dispensateurs de soins de santé doivent veiller notamment à être davantage accueillants pour les jeunes. Le traitement des IST et les tests volontaires à propos du VIH, doivent être confidentiels et fournis avec tact. Les programmes doivent découvrir des façons plus efficientes d’accéder les parents et les professeurs.

L’expérience dans certains pays montre les reculs de l’incidence du VIH/SIDA enregistrés avec des signes que les jeunes altèrent leur attitude à risque, sont une fontaine d’espoir. VIH / SIDA peut être empêché de ruiner la jeunesse de nos jeunes avec une éducation appropriée.

Est-ce que l’internet peut tuer la presse écrite?

La grande popularité et l’accès a l’internet ont diminue les lecteurs de la presse écrite. Même les grandes sociétés comme New York Times se trouvent en face de la question de la rentabilité. On se demande aujourd’hui si c’est la fin de la presse écrite. La réponse est non.

Avec l’avenant de chaque nouvelle technologie, les technologies préexistantes se sont retrouvées menacées. Mais l’histoire nous montre que ce n’est pas le cas. Par exemple, la télévision n’a pas remplacé la radio. Chacune a ses partisans. Les différentes technologies se complémentent.

C’est vrai que plusieurs journaux dans le monde occidental perdent leurs lecteurs et le revenu. Cependant ça exige l’amélioration de la qualité et la présentation des articles publies. Il faut que les articles et les divertissements soient rationalisés selon les choix des lecteurs. Il nous faut la « glocalisation » où le produit est mondial et local à la même fois.

L’internet est une source d’information très efficace. Il nous aide énormément dans tous les domaines de la vie surtout dans le travail. Pourtant, on veut se déconnecter de la Toile pendant les weekends et les vacances. Le journal est plus aisé pour des tels moments.

Il ne faut pas oublier que l’internet et les ordinateurs sont encore une rêve dans plusieurs régions dans le monde où il n’existe toujours pas de l’électricité. Les journaux facilitent le passage d’infos ici. Pour conclure, on peut dire que la presse écrite est très loin de son décès.