Sunday, September 20, 2009

La violence a ecole. Pourrait-on l'empecher?

Le lieu d’apprentissage devient le lieu d’affrontement. Les enseignants et les étudiants se trouvent accusés et attaqués à la même fois. Les confrontations dans les quartiers, surtout entre les français d’origines étrangères, arrivent aux lycées dans les formes extrêmement violentes et on se demander si on arrivera à détourner ses causes afin de combattre la violence dans les écoles.

Nous débuterons l'argumentation en examinant les causes de phénomène. Souvent les élèves des quartiers sensibles se plaignent d’être faussement accuser de mauvaise conduite. Même les moindre des erreurs dans leurs devoirs peuvent entraîner des cahiers déchirés par les professeurs. Les éducateurs, habituellement les nouveaux diplômés, malformés et sous-compensés, faillent à chapeauter la bestialité scolaire. Ils enveniment le problème, sciemment ou par mégarde. Le mécontentement des étudiants se manifeste en brutalité. Toutefois, les élèves défavorisés dans les pays en développement ne choisissent pas la grossièreté.

Nous passerons aux conséquences de ces attaques déchaînées. Les collégiens et les lycéennes harcelés souffrent des maladies psychologiques ou ils deviennent des matamores eux-mêmes. Conformément à la Carte scolaire, les brutes sont regroupées dans les clases pour «les enfants en difficulté», une situation opportune à la délinquance. Les étudiants parfois n’ont aucun respect pour leurs professeurs et les derniers ainsi assaillent manque le moindre enthousiasme pour amender la condition.

En concluant, on perçoit que l’abolissement de la ségrégation des élèves et l’amélioration dans la formation et compensation des enseignants peuvent reformer la situation. Mais est-ce que c’est ne pas l’obligation des parents de discipliner leurs enfants ?

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