La publicité de 21ème siècle assaille chaque écoinçon public concevable en France et ailleurs. L’union européenne souhaite codifier les normes pour les annonces audio-visuelles pour sauvegarder l’intimité des consommateurs. On abordera d’abord les provocations pour réglementer les pubs et puis on discutera s’il vaut mieux de laisser faire selon les dynamiques du marché libre.
Les campagnes publicitaires propagent des pensées reprochables et anti-sociales qui incitent les inquiétudes concernant les contrecoups sur les jeunes. Dans certains cas, les pubs peuvent aussi influencer le contenu des programmes télévises. La question qui suit est celle de «neuromarketing». Les commerçants, en essaient d’influencer la décision d’achat, emploient les écrans publicitaires électroniques. Ce phénomène fait polémique et avec l’avance des technologies de communication contemporaine, le consommateur n’échappera presque jamais la publicité. Cela provoque la demande de réglementation.
Passons aux forces du monde capitaliste et les opinions politico sociales. Les mitraillages publicitaires trop ciblés aident à marchander les produits selon les besoins précis des consommateurs en économisant les coûts de marketing. Pourtant le bombardement publicitaire partout et son nature endoctrinant et intrusif crée des «publiphobes» et incite les codes pour les interruptions commerciales sur la télévision dans les pays européens qui cherchent à éviter la télévision «à l’américaine».
En résumé, les technologies aident à vendre mieux mais il faut plus de responsabilité pendant son usage. Il occasionne de se rendre compte que les biens et les services aident à vivre mieux et que on ne vit pas pour que les biens et les services puissent se vendre mieux.
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