Tuesday, September 29, 2009

Faudrait-on mieux éduquer les parents pour combattre l'hyperactivité chez les enfants?

L'activité chez les enfants métamorphose dans l'hyperactivité et les parents et les enseignenants se trouvent perdue pour trouver la solution pour le problème. Les jeunes deviennent de plus en plus distraits et les adultes ne comprennent pas les raisons. On a beau essayé d'éduquer les enfants pour qu'ils puissent se comporter mieux mais maintenant on se demande s’il faut éduquer les parents pour guérir les enfants hyperactivités

Sunday, September 20, 2009

Le travail à domicile. Qui gagne? L'employée ou l'employeur?

La crise financière force les entreprises partout à réexaminer leur situation financière. Tout le monde veut maintenir une certaine croissance, ou bien de ne pas se trouver au déficit. Dans ce cas-là, les dirigeants encourageant leur employées de travailler chez eux, quelque chose qui était même difficile de concevoir, il y a quelques années. Aujourd’hui, on se demande qui est le vrai bénéficier de ces changements dans le lieu de travail.

En considèrent les causes de ces évolutions, on trouve que les entreprises veulent économiser sur les coûts immobiliers sous le poids de la récession. Les entreprises essaient d’éviter à tout prix d’augmenter leurs coûts fixes et en même temps ils ont envie de licenciait moins. Grâce à l’accès Internet haut débit et aux gadgets électroniques modernes, les employées peuvent travailler chez eux sans difficultés.

Ce nouveau environnement du travail délocalisé a ses défaitistes cependant il existe plusieurs bénéfices pour l’entreprise et les employées. Les employées gagnent plus de temps pour leur famille et pour leurs loisirs. Leurs budgets et leur mode de vie deviennent plus écolo sans les coûts variables comme l’essence, le pressing et les déjeuners au restaurant. Le travail à l’autogestion améliore la productivité des gens. Les bilans des entreprises paraissent plus sains sans les coûts immobiliers.

En concluant, c’est clair que les entreprises et les employées gagnent. La flexibilité réduire le dépenses et augment l’efficience. La technologie s’assure la coopération en ligne. Cependant, le bureau real, restera le lieu de travail avec le vrai contact humain.

La violence a ecole. Pourrait-on l'empecher?

Le lieu d’apprentissage devient le lieu d’affrontement. Les enseignants et les étudiants se trouvent accusés et attaqués à la même fois. Les confrontations dans les quartiers, surtout entre les français d’origines étrangères, arrivent aux lycées dans les formes extrêmement violentes et on se demander si on arrivera à détourner ses causes afin de combattre la violence dans les écoles.

Nous débuterons l'argumentation en examinant les causes de phénomène. Souvent les élèves des quartiers sensibles se plaignent d’être faussement accuser de mauvaise conduite. Même les moindre des erreurs dans leurs devoirs peuvent entraîner des cahiers déchirés par les professeurs. Les éducateurs, habituellement les nouveaux diplômés, malformés et sous-compensés, faillent à chapeauter la bestialité scolaire. Ils enveniment le problème, sciemment ou par mégarde. Le mécontentement des étudiants se manifeste en brutalité. Toutefois, les élèves défavorisés dans les pays en développement ne choisissent pas la grossièreté.

Nous passerons aux conséquences de ces attaques déchaînées. Les collégiens et les lycéennes harcelés souffrent des maladies psychologiques ou ils deviennent des matamores eux-mêmes. Conformément à la Carte scolaire, les brutes sont regroupées dans les clases pour «les enfants en difficulté», une situation opportune à la délinquance. Les étudiants parfois n’ont aucun respect pour leurs professeurs et les derniers ainsi assaillent manque le moindre enthousiasme pour amender la condition.

En concluant, on perçoit que l’abolissement de la ségrégation des élèves et l’amélioration dans la formation et compensation des enseignants peuvent reformer la situation. Mais est-ce que c’est ne pas l’obligation des parents de discipliner leurs enfants ?

Monday, September 14, 2009

Pourrait-on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter le problème de sous alimentation?

Selon les chiffres de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, il existe aujourd’hui 100 millions d’affamés dans le monde entier. L’effort international vise à vaincre la faim dès 2015. En considérant le succès des programmes agroalimentaires dans les pays développés de l’hémisphère boréal, c’est possible et on est obliger de trouver une solution durable au problème de sous-alimentation.

Tout d’abord, les pays développés doivent coopérés avec les pays en développement en versant les fonds monétaires par l’aide de la Banque mondiale ou par l’aide des fonds de la FAO. Il faut la pression internationale sur les pays où il y a des zones de conflits car les efforts économiques ne marcheront pas sans la paix. Les pays qui vont recevoir l’assistance économique doivent être obliges à ranger leur situation sociopolitique.

Ensuite, il faut que les états asiatiques et africains touchées par la crise alimentaire, consolident les relations interindustrielles verticales. L’expérience montre qu’une augmentation dans les volumes des récoltes n’est pas suffisant sans l’infrastructure d’approvisionnement excellente. Les systèmes agricoles ne profitent personne sans les bons liaisons en amont et en aval. Il faudrait des investissements pour développer les transports routiers, les ressources d’énergie renouvelable, les bassins versants et les engrais et les OGM, malgré la crise financière pour qu’on puisse éviter ou bien diminuer la risque d’une crise alimentaire pareil dans l’avenir et pour
adhérer au droit à la nourriture qui est reconnu depuis l'adoption de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948.

Tuesday, September 1, 2009

Est-ce que la fracture linguistique pourrait-elle être considérer comme la fracture sociale?

Les banlieues françaises donnent naissance au verlan, une forme de français tronqué par les jeunes des cités, surtout des origines nord-africaines, en mettent à l’envers les syllabes des mots ou par le redoublement de la dernière syllabe. Le verlan n’est presque pas compris par des adultes, surtout par des natifs. Les jeunes des banlieues se sentent marginalisés et c’est une façon de résister les Français d’origine français. Cela montre un vrai refus de communiquer avec les dominants qui montre aussi une fracture sociale.

Pourtant, selon moi, il faut s’apercevoir que la langue change de temps à temps. Les influences régionales et celles des langues des immigrés sont toujours visibles dans la langue de la majorité. Non-seulement le verlan est un jeu de syllabes mais aussi on voit l’utilisation des mots provençaux, arabes et même des mots très vieux. Cela montre l’introduction des nouveaux mots dans une langue et même la réintroduction des mots désuets. C’est donc une vrai évolution, pas forcement une fracture sociale. D’après moi, les jeunes sont très créatifs et audacieux pour manifester leur mécontentement avec la société française par le moyen de la langue

Cependant, je ne crois qu’un refus absolu des jeunes de parler le français sera un défi pour leur progrès professionnel et pour se rendre dans la société française d’un point de vue sociale, éducatif et économique.

Pour conclure, je voulais dire que le verlan montre une bonne tendance pour la langue française car ce qui n’évolue pas avec le temps, meurt.

Pourrait-on empêcher le SIDA en mieux informant les jeunes?

Étant donne que les jeunes sont particulièrement susceptibles au VIH/SIDA et aux autres infections sexuellement transmises (IST) à cause d’une multitude des attributs physiques, psychologiques et sociaux de l’adolescence, on se demande si on pourrait empêcher l’épidémie chez les jeunes en leur mieux informant. C’est possible si on s’attaque au problème avec des vastes stratégies centrées sur la jeunesse.

Les jeunes subissent aisément l’influence des pressions exercées par leurs pairs, fréquemment de manières qui peuvent faire accroître leurs risques. Pour mieux gérer la crise, toute la société doit encourager les programmes d’éducation et de communication qui renforcent les méthodes d’aversion pour les risques, telles que le report des activités sexuelles, la dependence, l’abstinence et les conversations avec les partenaires sexuels. Les préservatifs devraient être à bas prix et on devrait pousser leur emploi par tous les individus qui sont sexuellement actives car ils défendent à la fois contre le VIH et contre la grossesse. Il faut que les dispensateurs de soins de santé doivent veiller notamment à être davantage accueillants pour les jeunes. Le traitement des IST et les tests volontaires à propos du VIH, doivent être confidentiels et fournis avec tact. Les programmes doivent découvrir des façons plus efficientes d’accéder les parents et les professeurs.

L’expérience dans certains pays montre les reculs de l’incidence du VIH/SIDA enregistrés avec des signes que les jeunes altèrent leur attitude à risque, sont une fontaine d’espoir. VIH / SIDA peut être empêché de ruiner la jeunesse de nos jeunes avec une éducation appropriée.